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10/07/2014

Vitrine et chocolat

Imaginez un auteur (moi par exemple) dont les livres ne font l'objet d'aucune critique dans la presse, qui n'est pas vu à la télé dans les émissions "prescriptrices" comme La Grande Librairie et qui est édité chez de petits éditeurs indépendants, très actifs, mais qui ne peuvent rivaliser avec la puissance de feu de Gallimard, Seuil et autres majors. Alors comment se faire connaître ? Avoir une visibilité est indispensable, c'est pourquoi je remercie chaleureusement la Librairie DIDIER, rue Gambetta à Nancy, qui a eu la gentillesse de mettre La  Bonne Distance bien en vue dans sa vitrine !

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Ne croyez pas que je geigne, que je me plaigne lorsque j'évoque les difficultés des auteurs inconnus : je veux simplement expliquer comment cela se passe, et surtout remercier tous ceux qui apportent leur indispensable soutien.

Rien à voir, mais les Editions en Volume ont eu la bonne idée de me faire remplir le questionnaire de Pivot, celui qu'il proposait en fin d'émission à ses invités du temps béni de "Apostrophes". Vous y verrez que j'aime le chocolat à l'absinthe, sans modération.

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Mais outre la provocation réjouissante d'un émerveillement papillaire, ce chocolat possède une vertu tout aussi importante à mes yeux  : un nom majestueux, à la fois mystérieux et sonore, aussi évocateur qu'élégant : Larmes d'absinthe du Val-deTravers. Le Val de Travers… rien que le nom me donne envie d'aller m'y promener immédiatement, et vous ?

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